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Message par aaabc Dim 13 Fév - 15:02

DES VIES D'ENFANTS SONT MENACEES

VOICI UN MAIL QUE J'AI RECU

1987 = les membres de l'APA (Association psychiatrique américaine) votent à main levée l'introduction dans le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) d'un nouveau trouble psychiatrique: le TDAH (Troubles déficitaire de l'attention/hyperactivité).

En l'espace d'un an, 500 000 enfants américains reçoivent ce diagnostic. Aujourd'hui, étiquetés hyperactifs, plus de 6 millions d'enfants américains prennent le chemin de l'école après avoir avalé leurs pilules d'amphétamine (Ritaline, pour ne citer que la plus employée).

Entre 1990 et 2000, 186 décès liés à la Ritaline ont été rapportés à la FDA, ce qui ne représente, selon le docteur BAUGHMAN, membre de l'Académie américaine de neurologie, que 10 à 20% du nombre réel de décès imputables à cette drogue !

Des enfants âgés d'une dizaine d'années décèdent de troubles cardiaques et présentent des anomalies similaires à celles présentées par les consommateurs chroniques de cocaïne ! Dans les hôpitaux américains, les admissions dans les services d'urgence pour abus de Ritaline sont aujourd'hui, chez les pré-adolescents, plus nombreuses que celles dues à la cocaïne !

Les effets hautement délétères de la Ritaline (methylphénidate) et des autres stimulants (dextroamphétamine et metamphétamine) sont indiscutables et largement documentés.

La Ritaline se deale dans les cours d'école et de nombreux enfants la sniffent ou se l'injectent en IV. Il est intéressant de rappeler que la Ritaline est une drogue de classe 2 au même titre que la cocaïne, la methamphétamine, les opiacés ou les barbituriques les plus puissants. Peut on réellement être surpris de sa toxicité et de son pouvoir addictogène ?(cf témoignage du Pr BREGGIN devant le congrès des Etats-Unis, joint en annexe).

De nombreux cas de suicides, lors du sevrage du produit, ont également été rapportés.

Les médecins sont parfois placés dans des situations où ils doivent, dans le cadre d'une démarche thérapeutique, évaluer soigneusement la balance bénéfices/risques. Mais, s'agissant du TDAH, nous sommes en face d'une situation inacceptable car la "maladie" qu'il s'agit de traiter est une pure invention de la psychiatrie. De nombreux experts médecins nient la réalité de cette "maladie" et condamnent fermement la mise sous drogue de nos enfants.

Pour le Professeur BREGGIN, psychiatre, psychopharmacologue, expert près les tribunaux, « il est important de comprendre que le diagnostic de TDAH a été développé spécifiquement dans le but de justifier l'utilisation des drogues visant à modifier le comportement des enfants en classe.(...).De plus, alors que certains comportements sont inhibés pour une durée de quelques semaines, il n'existe aucune preuve tangible de l'amélioration du comportement scolaire, social ou psychologique. Au contraire, les preuves existent démontrant une altération des fonctions cognitives, un retrait social et l'existence d'un état dépressif ».

En novembre 1998, le texte final de la Conférence de Consensus sur le TDAH du National Institute of Health (NIH) aux États-Unis déclarait sans équivoque : « Il n’y a aucune donnée qui indique que le TDAH soit causé par un dysfonctionnement du cerveau. (...) » « Chez les sujets médicamentés, les psychostimulants semblent améliorer la concentration et l’effort tout en minimisant l’impulsivité et augmentant la docilité pour une courte période initiale d’environ 7 à 18 semaines, pour ensuite perdre toute efficacité ».

Que certains comportements puissent être, dans certains cas, source de difficultés pour l'enfant et son entourage, et traduire un réel problème, j'en conviens sans difficultés. Mais alors, pourquoi essayer d'atténuer certains symptômes, qui plus est pour une période de temps limitée et au prix d'effets délétères majeurs, alors qu'une démarche médicale logique et appropriée serait de traiter la cause sous-jacente ?

De nombreux facteurs sont susceptibles d'affecter l'équilibre psychique et le comportement des enfants (carences affectives ou éducatives, difficultés scolaires, problèmes de santé tels que des allergies ou des carences nutritionnelles...).Parmi ceux-ci, les erreurs alimentaires (surconsommation de sucre et d'hydrates de carbone raffinés, de graisses saturées ou dénaturées par la cuisson) génératrices de carences en vitamines du groupe B et en acides gras essentiels, de déséquilibre glycémique, jouent très probablement un rôle déterminant.

Le Dr L.M PELSSER, du centre de recherche sur l'hyperactivité et le THADA, à Middleburg (Pays-Bas) a découvert que "le comportement de 62% des enfants diagnostiqués comme souffrant de THADA s'était grandement amélioré après un changement d'alimentation d'une durée de 3 semaines".

Une étude réalisée par le sociologue Stephen SCHOENTALER, démontre que chez plusieurs centaines d'adolescents incarcérés auxquels on a donné une alimentation stabilisant la glycémie ainsi qu'une supplémentation en vitamine B1 et en magnésium, on a constaté une réduction des agressions physiques de 82%, des vols de 77% et du refus d'obéir de 65%.

Aujourd'hui, dans notre pays, plus de 6000 enfants sont sous Ritaline ! A en croire les psychiatres, 5% des écoliers français seraient atteints de ce trouble. Si nous ne faisons rien pour empêcher cette nouvelle tragédie, qui peut dire combien de milliers d'écoliers français seront demain sous traitement chimique, à l'image de ce qui se passe aujourd'hui en Angleterre par exemple ?

Une fois de plus, la psychiatrie biologique, faisant fi de toute rigueur scientifique, a allumé un incendie et tente de nous démontrer, au mépris de la santé et de la vie de nos enfants, qu'elle détient la solution pour l'éteindre.

Ne pas agir aujourd'hui c'est, à n'en pas douter, partager avec la psychiatrie biologique, la responsabilité de cette tragédie et des décès qui ne manqueront pas de survenir.

Tous ensemble, nous pouvons faire changer les choses et empêcher l'inadmissible ! Merci de soutenir l'action du collectif en signant et diffusant la pétition demandant l'interdiction immédiate de ce traitement et la constitution d'une commission pluridisciplinaire visant à établir la vérité sur ce sujet. http://www.moratoirepsy.com

Docteur Jean Philippe LABREZE
Collectif des médecins et des citoyens contre les traitements dégradants de la psychiatrie

Version originale = http://www.breggin.com/congress.html

merci de votre lecture !!

aaabc

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